Personnalité

Prétentieux.

Ca, James Potter l’est.

Il aura toujours une anecdote, quelque chose qu’il a fait et qu’il juge absolument exceptionnel.

Ne l’avez-vous pas entendu parler de sa dernière figure de Quidditch ? De la manière dont il a aidé à remporter la coupe. Non ?

Cette année, il paraît que James s’est calmé, mais c’est à moitié un mensonge.

James est toujours le même, à faire des messes basses avec Sirius et de se moquer des boutons de cette fille, toujours au dernier rang dans la classe. C’est James, fanfaron de première qui fait du gringue à la vieille McGonagall, celui qui a une mauvais foi de premier ordre et qui déteste perdre.

Néanmoins, James, il a également les valeurs des Gryffondors : la hardiesse, la détermination et le courage font partie de son caractère (parfois un peu trop). On ne compte plus le nombre de fois où il a fini à l’infirmerie à cause d’une manœuvre un peu trop compliquée, ni les tentatives (et donc les retenues) d’exploration de la forêt interdite.

James Potter est bavard, mais également puéril. Il peut être jaloux et détester profondément quelqu’un, comme il le fait avec Snape, cet enfoiré de Snape, pour lequel il ne voue qu’une aversion sans aucune limite.

Histoire

« Elle s’appelle comment, déjà ? T’as vu ses cheveux ? Ils sont fous ! »

« Tu dis qu’elle est moldue, Sirius ? C’est dingue, et elle accepte de te parler, à toi ? Moi, elle m’a envoyé paître hier. Et avant-hier. Et avant avant-hier. »

« Siriuuuuuuuuuuuus. Lily ne veut pas me parler. Elle dit que je suis. Comment c’est déjà ? Collant ? »

« ...j’ai voulu lui faire une farce, Sirius. J’ai collé nos vêtements, avant d’entrer en cours de sortilèges. Elle a dit que j’étais collant, non ? Elle a pas du tout apprécié, je comprends pas, moi, je trouvais ça très drôle. Flitwick non plus, je vais m’ennuyer sans doute pendant la retenue. »

« Je crois que je suis amoureux. Elle a des yeux superbes, tu ne trouves pas ? J’ai déjà une idée du prénom de noms enfants. Ils seront sûrement roux avec les yeux noirs. Splendides. Et ils joueront au Quidditch. »

« Elle n’arrête pas de parler à Snivellus. Cette ordure aux cheveux gras...elle dit que c’est son meilleur ami. Tu viens ? On appelle Piety, on va lui jouer un mauvais tour. »

« Comment ça, que j’arrête d’être insistant et de lui demander tous les matins ? Elle va céder, tu vas voir. »

« Je l’aime, je te le dis. Mais OK, je vais mettre un peu de distance. T’achètes des manuels de séduction moldus bizarres, hein. »

1960 : naissance de James. C’est un fils tardif, comme on dit, enfant unique. Il naît prématuré, il est entouré, choyé, noyé d’attentions. James marche assez tôt, il est couvert de cadeaux ; c’est l’enfant prodige, il deviendra quelqu’un.

1964 : il reçoit son premier balai, s’en suivent tout un tas de péripéties pendant lesquelles il manque de se casser le nez. Il fait la connaissance de certains enfants sorciers et développe un caractère assez bavard, porté sur les exploits.

1971 : James entre à Poudlard, il recontre Sirius (Black). Il sait immédiatement qu’il s’agira de son meilleur ami. Ensemble, ils sont identiques, deux jumeaux, tous les deux aussi bêtes l’un de l’autre. Leur talent pour les bêtises se démultiplie, à effacer toute présence des autres également.

Il découvre Lily, la je-sais-tout de leur classe. Si son but premier est de l’embêter, James est rapidement fasciné par elle et devient obsédé par l’idée d’entrer dans sa vie. Il essaie par bien des moyens, pas toujours très classes.

« Si Queudver peut le faire, tout le monde peut le faire, hein ? Hey, c’est pas contre toi, Queudver, c’est juste que… ! »

1974 : La transformation de la vieille McGonagall est trop classe, James lance donc l’idée aux autres de devenir des Animagi. C’est ce qu’ils deviendront et il leur faudra un an. Le sien est le cerf : il lui correspond parfaitement, visible et majestueux. Ils y arriveront lors de leur cinquième année.

(mais quelque part, au fond de lui, James ne peut s’empêcher d’être un peu jaloux de l’animal totem de Queudver, si discret, capable de toutes les infiltrations. Les moqueries ne diminueront pas, au contraire.)

1975 : les moqueries envers Servilus s’intensifient. Lily semble ne plus vouloir lui parler, les tensions sont à leur comble. James a même des mots très sévère à son sujet, qu’il regrette immédiatement.

1977 : le début d’année a été fracassant, l’infiltration de Voldemort au ministère pourrait rendre n’importe qui adulte. James veut s’engager, il veut défendre les moldus et parmi eux la belle Lily. Leur relation semble mieux se passer depuis qu’il a un peu lâché l’affaire.

« Regarde, Queudver, tu devrais prendre exemple sur Evans, lui demander qui est son coiffeur, par exemple. »

« La vieille McGo m’adore, c’est évident ! »

« Merlin, t’es trop drôle, Patmol, on devrait aussi lui dessiner des moustaches pendant son sommeil à l’indélibile et voir sa réaction au réveil ! » (à propos de Queudver)

« Attends, j’ai une tâche sur la joue, non ? C’est mort, je vais pas en cours tant que j’ai pas réussi à la faire partir. Tu demandes à Marls son kit de maquillage pour moi ? »

« Trop cool ta forme de chien, Siri. Je me transforme et on tente le galop ? »

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— Euphemia Potter
— Fleamont Potter
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@"James F. Potter" : sans Remus dans la bande, le caractère impétueux et majestueux de James l’emporte. Plus personne pour le calmer, ni pour lui indiquer les limites qu’il franchit bien trop souvent.