Personnalité

excentrique ϟ hautain ϟ intelligent ϟ avide ϟ intolérant ϟ malin ϟ manipulateur ϟ moqueur ϟ fourbe ϟ quête de reconnaissance ϟ bagarreur

Ambitieux : Prospero ne recule devant rien pour atteindre ses objectifs. Il est constamment en quête de reconnaissance et de pouvoir, ce qui le pousse à s'améliorer sans cesse et à rechercher des opportunités pour gravir les échelons.

Intelligent : Doté d’un esprit vif et stratégique, Prospero excelle à élaborer des plans complexes et à anticiper les actions des autres. Il sait analyser une situation rapidement et prendre des décisions efficaces.

Charismatique : Bien qu'il puisse être cruel, Prospero est capable de charmer et d'attirer les autres par son magnétisme personnel. Il sait jouer de son charisme pour obtenir ce qu'il veut, que ce soit par la flatterie ou la manipulation.

Déterminé : Rien ne peut détourner Prospero de ses objectifs. Sa détermination à réussir est l'une de ses forces majeures, et il persévère même dans les situations les plus difficiles.

Loyal envers les siens : Il est profondément attaché aux valeurs de sa famille et, par extension, à la cause des Sang-Pur. Sa loyauté envers Voldemort et ses idéaux en fait un allié de poids dans les cercles où l’influence des Mangemorts est forte.

Cruel : Prospero prend plaisir à infliger de la douleur, surtout aux personnes qu’il considère inférieures, comme les Sang-de-Bourbe. Il n’hésite pas à utiliser la peur et la souffrance pour asseoir son autorité.

Manipulateur : Il voit les autres comme des pions à utiliser pour parvenir à ses fins. Prospero manipule sans scrupules, que ce soit pour obtenir des informations, de l’aide ou pour discréditer ses ennemis.

Arrogant : Sa fierté démesurée et sa conviction d’être supérieur aux autres, en particulier aux sorciers de sang-mêlé ou de sang de Bourbe, le rendent insupportable pour ceux qui ne partagent pas ses idéaux. Il se croit intouchable et refuse souvent de reconnaître ses erreurs.

Méprisant : Il regarde de haut quiconque ne correspond pas à ses critères de pureté et de pouvoir, ce qui le rend difficile à approcher ou à apprécier pour la majorité des autres élèves.

Opportuniste : Prospero est prêt à trahir ou à abandonner des alliances si cela peut lui servir personnellement. Son manque de véritable loyauté en dehors de ses propres intérêts fait de lui un allié instable.

Fêtard : malgré son avidité, Prospero n'oublie pas d'être un jeune homme et aime faire la fête. Un brin immature, il n'est pas rare de le voir le week-end dans des fêtes clandestines aux alentours du château. 

Histoire

Revenons en arrière avant de commencer l'histoire de Prospéro, car un récapitulatif de la situation semble nécessaire pour comprendre l'existence sombre de ce jeune homme. La famille Gaunt est une des plus grande famille de Sang-pur, pourtant bafouée par leur soif de pouvoir. Cette famille s'est anéantie seule, par cette quête permanente de vouloir garder son sang le plus pur possible. Haïssant depuis toujours les moldus et les personnes naissant de parents non-sorciers, les Gaunt prônent la suprématie du sang comme leur ancêtre Salazar Serpentard. Au fur et à mesure des générations, les Gaunt ont eu cette fâcheuse habitude de se marier entre cousins, provoquant une certaine consanguinité dans les générations suivantes. La folie a commencé à s'emparer des Gaunt, provoquant une haine au sein même de cette famille. Considérés comme instables voir nuisibles, les Gaunt ont rapidement été écartés des réunions de famille de Sang-pur, s'enfermant davantage dans aliénation poussant certains membres à se tuer entre eux.  Seulement, depuis la montée en puissance du Seigneur des Ténèbres, son nom et ses idées, semblent redorer le blason familial. De plus en plus de famille soutenant Lord Voldemort, cherchent à convoiter les Gaunt pour être au plus près de leur maître et attirer sa convoitise. La famille pourtant discréditée pendant des années est dorénavant au coeur de nombreuses discussions et amitiés naissantes.  


Eros n'a que très rarement connu son père, ni son grand-père, ni arrière grands-parents. Famille déchirée en 1942, de quoi accentuer encore plus la tragédie de cette famille, Morphin, pris par la folie a fini par tuer Tom Jedusor SR  et ses parents (du moins c’est ce qu’il croit)  se faisant arrêté pour meurtre, il est actuellement enfermé à Askaban. Son propre fils, Eros, n'a jamais cherché à défendre son paternel, comment on pouvait tuer sa propre famille, surtout quand elle avait autant de valeur que celle des Gaunt. A croire qu'une malédiction s'était abattue sur ce nom, déchirant chaque membre, un à un. Eros n'avait pas vraiment de lien non plus avec son cousin, Tom Jedusor, naît de sa tante Mérope, morte probablement en mettant au monde son propre fils. Famille qui se prétend prestigieuse, et pourtant, lorsqu'on lis entre les lignes, elle ne possède aucune splendeur. A croire que chaque coeur existant dans le corps d'un Gaunt est automatiquement noirci.


Prospero Gaunt est né dans une atmosphère imprégnée de violence et de mépris, héritage direct de son père, Morphin Gaunt. Dès son plus jeune âge, il n’a connu que la dureté d’un homme obsédé par la pureté du sang, la supériorité des sorciers de sang-pur, et le pouvoir qui devrait, selon lui, leur être réservé. Morphin n'a jamais montré la moindre affection pour ses enfants. À ses yeux, ils n'étaient que des instruments de son ambition, et les émotions telles que l'amour ou la tendresse étaient des faiblesses. L’éducation de Prospero fut donc marquée par des punitions cruelles et des brimades incessantes. Son père, voyant en lui le futur porteur de la lignée Gaunt, exigeait perfection et obéissance, n’hésitant pas à le torturer physiquement et psychologiquement.

En grandissant, Prospero devint ambitieux et avide de reconnaissance. Ne recevant que du mépris de son père, il chercha à prouver sa valeur par tous les moyens, adoptant sans hésitation les idéaux de supériorité de Morphin. Le discours du Seigneur des Ténèbres, prônant la pureté du sang, résonnait en lui comme une voie légitime vers le pouvoir et la reconnaissance qu’il n’avait jamais eue. Son ambition dévorante fit de lui un partisan convaincu des idées de Voldemort, et il n’hésitait pas à afficher son mépris pour ceux qu’il considérait comme inférieurs, suivant ainsi les enseignements que Morphin lui avait inculqués.


La vie de Prospero bascula définitivement à l’âge de six ans, lorsque sa mère mourut de manière mystérieuse. Ce fut un tournant dans son enfance déjà marquée par la violence. Prospero n’a jamais su si son père était directement responsable de sa disparition, mais il n’a jamais pu exprimer son chagrin, car Morphin méprisait tout signe de faiblesse. Dès lors, l’atmosphère dans le manoir familial devint encore plus oppressante. Prospero se retrouvait seul face à un père tyrannique, avec pour seule alliée sa sœur cadette, deux ans plus jeune. Bien qu’elle partageait son enfer quotidien, leur lien demeura solide, leur souffrance commune créant un pacte tacite de soutien et de protection mutuelle.

À l’intérieur du manoir, chaque jour était un combat pour survivre. Prospero apprit à éviter son père, à se faufiler dans l'ombre, à mentir pour esquiver les châtiments. Il devint de plus en plus fourbe, développant un esprit aiguisé et calculateur pour ne pas finir broyé par la cruauté paternelle. Sa relation avec sa sœur, bien que teintée de complicité, se forgeait également dans cette lutte pour le pouvoir familial, chacun cherchant à se protéger tout en surveillant l’autre, de peur que Morphin ne retourne leur alliance contre eux.


L'entrée de Prospero Gaunt à Poudlard à l'âge de onze ans fut un moment déterminant dans sa vie, une échappatoire partielle à l’oppression familiale, mais aussi l’occasion de découvrir un monde dans lequel il pourrait enfin déployer ses propres talents et ambitions. Dès ses premiers pas dans le château, il comprit que cette école serait bien plus qu’un simple lieu d’apprentissage : ce serait le théâtre où il pourrait jouer le rôle qu’il désirait tant, celui d’un futur puissant sorcier de sang-pur.

Prospero fut réparti à Serpentard, un choix qui ne surprit personne. La maison de la ruse, de l’ambition et de la quête de pouvoir correspondait parfaitement à son esprit manipulateur, hérité de l’éducation stricte de son père. Très vite, il se fit une place dans cette maison, observant attentivement ses camarades et apprenant à naviguer dans les méandres de leurs ambitions personnelles. À Poudlard, il comprit que pour gravir les échelons, il fallait être non seulement malin et stratégique, mais aussi s'entourer des bonnes personnes. Il forgea donc des alliances, mais jamais des amitiés. Pour lui, les relations n’étaient que des outils, des moyens de parvenir à ses fins.

Dès les premières années, Prospero se fit remarquer par son charisme et son intelligence. Il était doué pour les études, particulièrement en potions et en sortilèges, des matières où la précision et la maîtrise étaient essentielles. Cependant, il ne se contentait pas d'être un bon élève. Son véritable talent résidait dans son aptitude à lire les autres et à manipuler les situations en sa faveur. Il savait exactement quand sourire, quand se montrer moqueur, et surtout, comment faire douter ses rivaux ou les pousser à se dévoiler. Ce comportement le rendait à la fois respecté et redouté.

Son arrogance, qu'il portait comme une armure, était souvent masquée par une façade de charme. Prospero devint rapidement un séducteur invétéré. Les jeunes filles, fascinées par son allure mystérieuse et son esprit affûté, tombaient sous son charme, mais il ne s’attachait à aucune d’entre elles. Chaque conquête n'était pour lui qu'une distraction temporaire, une preuve de son pouvoir de séduction. Dans les couloirs de Poudlard, on chuchotait souvent à propos de ses nombreuses relations, mais lui en tirait une satisfaction silencieuse, conscient que cela renforçait son image de jeune homme insaisissable et dangereux.

Les rivalités entre maisons faisaient également partie intégrante de sa vie à Poudlard, particulièrement avec Gryffondor, dont l'idéalisme et l'altruisme lui étaient totalement étrangers. Il méprisait ouvertement les élèves de cette maison, qu’il considérait comme naïfs et faibles, trop obnubilés par des idéaux de justice et de bravoure. Plusieurs altercations éclatèrent au fil des ans, mais Prospero sut toujours s’en sortir sans y laisser trop de plumes, sa ruse lui permettant de détourner l'attention de ses méfaits.

En dehors de ses manipulations sociales et de ses conquêtes, Prospero trouva un exutoire dans le Quidditch. Il rejoignit rapidement l’équipe de Serpentard, non seulement pour briller dans ce sport emblématique, mais aussi parce qu'il y voyait un moyen d'affirmer sa domination sur les autres. Sur le terrain, il était impitoyable, jouant avec une précision redoutable et n’hésitant pas à user de tactiques douteuses pour déstabiliser ses adversaires. Son talent lui valut rapidement une reconnaissance certaine parmi ses pairs, et il envisagea même de poursuivre des études plus poussées dans ce domaine après Poudlard, non par passion, mais parce que cela lui permettrait d'accroître son influence dans le monde magique.

Pour autant, Prospero ne perdit jamais de vue ses véritables ambitions. Dès ses premières années, il s’intéressa de près à l’histoire de la magie noire, explorant avec fascination les récits autour de Voldemort et de son ascension. En tant que descendant des Gaunt, une famille au sang-pur ayant autrefois abrité le plus célèbre mage noir, il se sentait destiné à marcher dans les traces de ses ancêtres. Son intérêt pour la magie noire grandit à mesure qu’il avançait dans ses études. S’il était prudent, ne se laissant jamais démasquer, il n’en restait pas moins avide de découvrir les pouvoirs les plus sombres que Poudlard pouvait offrir.

En dernière année, Prospero était devenu une figure incontournable à Serpentard. Il régnait sur sa maison d’une manière subtile mais incontestée, manipulant habilement ses camarades et écrasant ses rivaux par son intelligence et sa capacité à prévoir leurs mouvements. Sa sœur, bien qu’elle ait pris un chemin moins radical, restait la seule personne envers laquelle il ressentait encore une forme de loyauté sincère. Ensemble, ils partageaient un lien indéfectible, forgé dans la douleur de leur enfance.

Au terme de ses sept années à Poudlard, Prospero était devenu ce qu'il avait toujours rêvé d’être : un sorcier respecté, redouté, et prêt à s’élever encore plus haut. Ses ambitions n’étaient pas encore entièrement réalisées, mais il sentait que son heure approchait. Le monde extérieur, en plein chaos, lui offrait une multitude d’opportunités pour s’imposer, et il n’avait aucun doute qu’il jouerait un rôle clé dans les événements à venir.


La relation entre Prospero Gaunt et Tom Jedusor (Voldemort) est profondément enracinée dans l’histoire familiale, ainsi que dans les idéaux qu’ils partagent. Tous deux sont issus de la lignée des Gaunt, descendants directs de Salazar Serpentard, et cet héritage, bien qu'obscur, les lie d’une manière inextricable. Même si Tom Jedusor a longtemps renié son passé de Gaunt, il représente aux yeux de Prospero l'incarnation la plus puissante et la plus aboutie des ambitions de leur famille : un sorcier de sang-pur, héritier de Serpentard, destiné à dominer le monde des sorciers et à restaurer la suprématie des sorciers de sang-pur.

Lorsque Tom Jedusor devint Voldemort, Prospero sentit un écho entre leurs trajectoires. Lui-même avait grandi dans l'ombre de son père, prisonnier des attentes tyranniques de Morphin, mais il nourrissait en silence des ambitions bien plus grandes. En voyant Voldemort rassembler ses fidèles, prêcher la pureté du sang et l'importance des sorciers de sang-pur, Prospero sentit que ses propres croyances étaient validées et amplifiées par son parent. L'ascension de Voldemort marquait non seulement une ère nouvelle pour le monde des sorciers, mais aussi pour Prospero, qui y voyait l'opportunité d'affirmer à son tour son rôle et son pouvoir.

Le soutien de Prospero à Voldemort ne se limitait pas à une simple admiration lointaine. Lorsqu’il eut l’âge de comprendre les rouages politiques du monde sorcier, il chercha activement à se rapprocher des partisans de Voldemort. Sa maison à Serpentard, et les relations qu’il y tissa avec des élèves influents partageant les mêmes idéaux, l’amenèrent à fréquenter des cercles proches des Mangemorts. En grandissant, Prospero développa une forme de vénération pour son parent. Il aspirait à prouver sa valeur et à se faire remarquer par lui. Prospero ne souhaitait pas seulement être un partisan parmi d'autres, mais se positionner comme un héritier spirituel, voire un bras droit dans les moments cruciaux. Il voyait Voldemort comme celui qui pouvait lui offrir la reconnaissance et la puissance qu’il avait toujours cherchées, et il était prêt à tout pour démontrer sa loyauté. Cette quête de reconnaissance, qui l’avait toujours hanté, trouva en Voldemort une solution. À ses yeux, se faire accepter par celui qui partageait son sang, qui était un descendant de la lignée Gaunt tout comme lui, serait l’accomplissement ultime.

La quête de Prospero pour se rapprocher de Voldemort n'était pas purement idéologique, elle était aussi personnelle. Il cherchait à s’émanciper du contrôle de Morphin, à lui prouver, ainsi qu'au monde entier, qu’il n'était pas seulement le fils d’un sorcier cruel, mais l’héritier d’un pouvoir bien plus grand. En soutenant Voldemort, Prospero voyait une chance de s’élever au-delà de son passé, de réécrire son histoire familiale en devenant un acteur majeur dans le nouvel ordre que Voldemort cherchait à instaurer.

Si Prospero admirait sans réserve la quête de pouvoir de Voldemort, il n’était pas aveugle à la dangerosité de l’homme. Il savait que, tout comme lui, Voldemort ne tolérait pas la faiblesse, et qu’il était impitoyable envers ceux qui échouaient ou trahissaient sa cause. Mais pour Prospero, cela ne faisait que renforcer son désir de se montrer à la hauteur. Il voyait leur lien familial comme une opportunité unique, mais aussi comme une responsabilité : il devait prouver qu'il était digne de porter le nom Gaunt, et qu'il pouvait, à son tour, marquer l'histoire.


Depuis la rentrée de 1977, Poudlard a radicalement changé. L'ombre du Seigneur des Ténèbres s'étend désormais jusqu'au cœur de l'école, et les Mangemorts y exercent une influence écrasante. Les élèves issus de familles de sang-mêlé ou de "Sang-de-Bourbe" sont devenus des cibles évidentes de cette oppression institutionnalisée. Les nouvelles lois, les rumeurs de disparitions et les regards méfiants des professeurs liés aux Mangemorts ont transformé l'atmosphère autrefois joyeuse en un véritable champ de bataille idéologique.

Prospero Gaunt, lui, ne pourrait être plus satisfait. Pour lui, cette nouvelle ère à Poudlard représente enfin la réalisation de tout ce qu'il a toujours cru. L’idéal de la pureté du sang, prêché par son père et soutenu par Voldemort, est désormais imposé sans compromis. En tant que préfet en chef et "roi" autoproclamé de Serpentard, il voit dans cette oppression une occasion de renforcer davantage son influence. Non seulement il soutient l’idéal de la suprématie des Sang-Purs, mais il profite aussi activement du chaos ambiant. Les élèves, terrifiés, se tournent vers lui, soit pour éviter sa colère, soit pour tenter de s'allier à son pouvoir grandissant. Prospero, avec son sens aigu de la manipulation, sait parfaitement utiliser cette nouvelle dynamique à son avantage. Ceux qui sont de sang-mêlé, ou simplement trop faibles pour résister, se retrouvent marginalisés, et il n’hésite pas à se moquer d’eux publiquement, renforçant ainsi son autorité et son image auprès des Serpentards les plus radicaux. Dans les couloirs, il devient rapidement une figure intimidante, imposant silence et soumission aux élèves qui n’ont pas le "privilège" d’avoir un sang-pur.

Pour Prospero, cette période est une confirmation de ses convictions les plus profondes. Il voit la montée des Mangemorts à Poudlard comme la preuve ultime que le monde est en train de basculer dans le bon sens. Les Sang-de-Bourbe, selon lui, ne méritent que l'oppression qu'ils subissent. Ils ont pris une place qui ne leur revenait pas dans la société sorcière, et il est plus que temps de les remettre à leur place. La peur qu’ils ressentent est, à ses yeux, une juste conséquence de leur présomption de croire qu’ils pourraient se mesurer aux véritables sorciers.

Cependant, derrière son arrogance et son cynisme, Prospero est également conscient que cette montée au pouvoir n'est que le début. Pour lui, l'école est un microcosme de ce que le monde sorcier deviendra sous le règne de Voldemort, et il se voit déjà jouer un rôle clé dans cette société future. Il nourrit des ambitions qui vont bien au-delà des murs de Poudlard. Ce qu’il veut, c’est non seulement la reconnaissance de son maître, mais aussi un pouvoir personnel, ancré dans la peur qu'il inspire et dans les alliances qu'il forge.

Dans l’immédiat, il continue d’observer avec satisfaction l’impact des nouvelles lois, s’assurant que personne ne puisse contester l’ordre des choses. Pour lui, l'oppression des Sang-de-Bourbe est non seulement justifiée, mais nécessaire pour maintenir l’équilibre du pouvoir. Et si cette rentrée 1977 représente le début d’une nouvelle ère, Prospero compte bien s’assurer que son nom soit gravé parmi les sorciers qui auront contribué à la création de ce nouveau monde.


➤ 1903 : naissance de Morphin
➤ 1907 : Naissance de Mérope
➤ 1920 : Naissance de Eros, fils de Morphin
➤ 1926 : Naissance de Tom Jedusor et Mort de Mérope
➤ 1942 environ : Tom Jedusor tue son père et ses grands-parents faisant passer Morphin pour le coupable. Morphin est envoyé à Azkaban
➤ 1959 : Naissance de Prospero.

Les codes

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 <b>Gabriel Guevara</b> — @"Prospero Gaunt"

Préfet, joueur quidditch, professeur : Poursuiveur + Référent étudiant

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@"Prospero Gaunt"

Fourchelang

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@"Prospero Gaunt"

(facultatif)

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<strong>1ère branche</strong>
   <em>Personnage(s) disponible(s) :</em>
— (m) "Prospero Gaunt"
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